On croit connaître les gens, puis finalement on se dit qu'ils jouaient un jeu. Un jeu stupide. Mais, est-ce que j'ai vraiment raison? Ou est-ce le monde qui me tourne le dos ou au contraire est-ce moi qui lui tourne le dos? J'ai vraiment envie qu'on m'oublie. Je ne peux plus l'aider, je ne sais plus lui parler...petit à petit je m'éloigne, petit à petit je m'efface. Plus rien n'est pareil. Rien. Ma vie change, mes idées de même. C'est comme si t'avais l'impression de grandir sans pour autant voir le changement, je ne comprend plus rien. Je suis tellement perdu. Il y a des moments où sa devient presque insupportable. Elle me met a nu du regard. Je ne la comprend plus, est-ce qu'elle aurait changée? Et si je la perdais? Je ne trouve plus cette lueur dans ses yeux, ses sourires qui me rebouster, mon rayon de soleil. Je savais tout d'elle pourtant j'ai l'impression de ne plus rien savoir.. Pourtant je l'aime. Elle me parle et je reste là comme sa, comme une pierre, alors, alors..elle finit par ne plus rien dire, puis par raconter sa vie aux autres.. par oublier que je suis là.. je me renferme sur moi. Je ne sais plus qui je suis. Elle n'est pas là pour me rappeller qui je suis! Elle n'est pas là pour me faire rire comme jamais. Non. Rien. C'est plus comme avant. Je ne suis plus celle que j'était, celle qui souriait, celle qui prenait tout a la légère. Je l'aime et je perd tout..

Je n’oublie pas. Je n’oublie rien. Nos moments de bonheur comme nos moments de pleure. Je n’oublie pas les heures de cours où on étaient affalées sur nos tables en se racontant nos vies, nos problèmes… sans se soucier des professeurs mais qui finalement on se faisaient disputer. Je n’oublie pas les conneries quand on a pu faire chez moi. Je n’oublie pas les sautes d’humeur, les trop plein, les larmes qui débordent de nos yeux. Je n’oublie pas nos étonnements devant «2h37». Je n’oublie pas le 20 mai, où on étaient folle de joie, où on sautaient partout après avoir eu nos billets. Je n’oublie pas les moments a cora où on se tapaient la honte à chaque fois. Je n’oublie pas nos moments de stresse. Je n’oublie pas les sortis, week-end pendant les vacances d’été. Je n’oublie pas les Qu’est-ce que j’y ferais sans toi si tu n’était pas là. Je n’oublie pas nos musiques, nos chansons fétiches. Je n’oublie pas. Je n’oublie pas ce fameux journée: 26 octobre 2oo7. Je n’oublie pas cette nouvelle page que l'on a tournée ensemble. Je n'oublie pas les journées les après-midi qu'on a passer dans ce café. Je n'oublie pas les macdo infinissable. Je n’oublie pas les photos de merde qu’on s’est tapée ainsi que les photos que j’ai prise de toi à la gare. Je n’oublie pas que je voulais absolument savoir le numéro des pompiers de peur qu’un train passe et que hop: A pu d’bibiche. Je n’oublie pas les conversations qu’on a pu avoir jusqu’à cinq heure du matin en quatrième. Je n’oublie pas la première fois qu’on s’est rencontrer. Je n’oublie pas les idées pas très catholiques. Je n’oublie pas les conneries devant la cam. Je n’oublie pas les foutages de gueule sur Mr.H. Je n’oublie pas l’heure qui ne passait pas dans les toilettes chez l’infirmerie pour rater un contrôle en histoire. Je n’oublie pas les accents de merde qu’on a pu crée ensemble. Je n’oublie pas quand tu terminer mes phrases, que tu savais quand j'allais mal, que tu savais ce que je pensée. Vraiment, tout ça je n'oublie pas. Je garde tout. Le plus que je peux en tout cas.